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IMPACT DES TRANSPORTS

Les différents moyens de transport font partie intégrante de notre société. Que ce soit le bus, la voiture , l’avion ou bien le métro ou le train. Certains ont un fort impact sur l’environnement. En effet les 80000 avions, les 90000 cargos et le milliard de voitures rejettent des particules et produisent du CO2 qui contribuent à réchauffer et à polluer la planète.

30 à 35 % des émissions de CO2 planétaires sont dues aux transports dont plus de 20% dues aux voitures.

D’autre part l’avion est un des moyens de transport le plus polluant. La totalité du trafic aérien( 20 000 avions par jour)consomme autant d’énergie qu’un pays comme l’Allemagne.Pour un trajet Paris-Berlin aller-.retour une voiture émet 150 kg de CO2 par passager contre 255 kg de CO2 pour un vol aérien.

Le transport maritime est lui aussi extrêmement polluant. Un seul cargo pollue autant (sur certains rejets gazeux) que 50 millions de voitures. Les marées noires sont destructrices. L’accident de l’Exxon Valdez en Alaska a provoqué la mort de 400 000 oiseaux de mers , des milliers de poissons , des loutres , des phoques…

En France le trafic routier représente 40% de la pollution totale. Les embouteillages y contribuent à 75 % or une voiture contient en moyenne 1.25 personnes par déplacement. Les transports en commun ne représentent que 17% des déplacements et seulement 9% pour le covoiturage.

Et l’OMS a classé les effluents d’échappement des moteurs diesel cancérogènes pour l’Homme , les moteurs essence sont classés cancérogènes probables.

Il est estimé que les rejets de particules fines PM 2.5 réduit l’espérance de vie de 8 mois et que les particules PM10 seraient à l’origine de 6% des décès dont 3% correspond aux émissions du trafic routier.

Mais les impacts concernent aussi le climat, l’eau , les sols, la flore , la faune, le bruit…

Il faudrait donc diminuer nos trajets en voiture, favoriser les transports en commun, le covoiturage , le vélo, la marche.

On devrait faire en sorte que plus de bus soient gratuits. On pourrait prendre moins l’avion et taxer enfin le kérosène, utiliser plus le train pour les passagers et surtout pour les transport de marchandises( un des moyens de transport les moins polluants). Il faudrait interdire le carburant des cargos très polluant…

Notre charte écologique dans son volet transport doit nous amener à transformer nos déplacements , à économiser de l’argent et donc à moins polluer.

N’oublions pas non plus que ce carburant est essentiellement fossile et qu’il ne se renouvelle pas. De plus l’électricité dans les transports pose aussi des problèmes par sa production ( nucléaire, charbon) et son stockage ( batteries)…

Texte de  : Carla VIGNEAUX, Laury FEUILLERAT, Laurie RUAU, Luc SOUBIRAN,

Marie SERVIERES, Emma LARROCHE, Louis GREIL, Gauthier MONTEGUT

D’après les sources  : - Avem / Respire-asso.org / Eco-volontaire-international.com / Gecoair.fr / Ademe / France 3 / Le Monde / Planetoscope.com / Liberation / Le parisien

Transport
Alimentation

ALIMENTATION

Nous vous conseillons Greenpeace pour gérer votre alimentation

Sur ce site vous pourrez trouver :

- Le calendrier des fruits et légumes de saison

- Possibilité de s’abonner à leur newsletter pour recevoir chaque mois la liste des fruits et légumes de saison par mail

Eau Energie
Ancre 1

ALLIMENTATION:

        Pour être en bonne santé, il est important de manger des et des légumes de saison. Ils répondent au bon moment aux besoins nutritionnels de l’organisme. Par exemple en hiver, les fruits et légumes sont riches en vitamine C, en magnésium et en Bêtacarotène, cela renforce le système immunitaire et lutte contre la fatigue et les infections.

 

Les produits de saisons sont très riches en antioxydants, ce sont des molécules qui :

 

· Protègent notre corps de la pollution

 

· Protègent notre peau des rayons UV et du vieillissement, aide aussi à cicatriser

 

· boostent notre système immunitaire et protègent des pathologies type Alzheimer ou maladies cardiovasculaires

 

· aident à maigrir et bronzer

 

 

      De plus, les produits de saisons ont plus de goût et sont souvent moins cher si on le fait pas importer de l’autre bout du monde . En effet il est bon de manger des fruits et légumes de saison mais cela n’a aucun intérêt si les produits ne sont pas locaux. Les produits de saison sont meilleurs pour l’environnement car ces produits ont besoin de moins de pesticides lorsqu’ils sont de saison étant donné qu’ils poussent naturellement . Ils nécessitent également moins d’importation ce qui pollue beaucoup moins.

     En conclusion consommer des produits de saisons est meilleur pour la santé que pour l’environnement.

 

 

 

D’après les sources :

www.femmeactuelle.fr

www.lepetitproducteur.fr

                                                                                                             Un travail de : Chloé GUAL, Jeanne HUC et RUMEAU Marion

NOUVEAUX ACHATS

Nous achetons régulièrement de nouveaux vêtements et des appareils électriques neufs et il est important de savoir que chaque produit a un impact environnemental qui peut être important sur la nature.

Non seulement on achète sans réfléchir mais certains produits sont créés pour mourir plus vite ; c’est ce que l’on appelle l’obsolescence programmé.

Le concept d’impact environnemental désigne l’ensemble des modifications qualitatives, quantitatives et fonctionnelles de l’environnement engendrées par un projet. L’impact environnemental est mesuré par des indicateurs d’impacts potentiels. Ceux qui nous intéressent sont ceux de l’air et ceux des ressources du sol ainsi que ceux liés à la santé humaine.

Indicateurs pour l’air :

- contribution à l’effet de serre, acidification de l’air, formation d’ozone, appauvrissement de la couche d’ozone, particules, effets respiratoires des substances inorganiques…

Indicateurs pour les ressources des sols et la santé humaine :

-consommation d’énergie primaire, épuisement des ressources non renouvelables, toxicité humaine, occupation des sols…

Un produit passe par trois états :

- sa conception

- sa consommation

- sa destruction

Conception :

Un produit est toujours conçu dans une usine qui peut elle-même avoir un impact environnemental par les gaz rejetés, l’énergie nécessaire à son fonctionnement, la place sur les sols qu’elle occupe, les transports qu’elle utilise.

Les usines sont responsables de 21 % des émissions rejetées dans l’air.

Certaines usines de textile notamment n’hésitent pas à employer des enfants. Une enquête de l’overseas development institute a révélé qu’au BENGLADESH 15% des enfants entre 6 et 14 ansdes bidonvilles travaillent 64 h par semaine dans le textile et ce chiffre s’élève à 50% pour les enfants de 14 à 16 ans… Donc 256 h par mois pour 8 euros la semaine.

Consommation :

Chaque produit a son propre impact environnemental. Par exemple pour un yaourt il faut ouvrir un paquet en carton, le détacher des autres pots en plastique, retirer l’opercule…

Ces emballages ne font que 5 % des émissions du produit. Sa production représente 83 % et son transport 12 % .

Destruction :

Même si en apparence les emballages n’ont pas l’air très nocifs ;, ils peuvent l’être.

Par exemple les emballages plastiques de nos nouveaux achats sont souvent peu recyclés et finissent dans la nature et des millions de tonnes de déchets plastiques se retrouvent dans les océans. 660 espèces vivant dans les océans sont touchées en les ingérant. On les retrouve aujourd’hui en micro particules dans l’air.

De plus la production d’aluminium crée des nerfluorocarbures ou du dioxyde de souffre impliqué dans les pluies acides…

Un travail de : Audrey DINAT et de Lucie LASCOMBES

D’après les sources:

 - ADEM

- https://erse.net

NOUVEAUX ACHATS

Les cigarettes :

La cigarette a été inventée en 1848 mais son usage s’est développé vers 1900.

Le composé principal d’une cigarette est le tabac , culture qui utilise beaucoup d’énergie, de l’eau et des pesticides.

Une cigarette contient en plus de nombreux composés très toxiques ( une vingtaine) comme la nicotine , le cadmium, le pyrène , le toluène, l’arsenic, le polonium 210, l’acétone… et sa fumée contient plus de 4000 substances chimiques.

1milliard d’individus fument sur la planète environ 6000milliards de cigarettes. En France on compte environ 15 millions de fumeurs, soit 34 % des 15 à 75 ans. 28 % sont des fumeurs quotidiens.

Dans notre lycée un jeune sur trois fume ou a déjà fumé.

La combustion d’une cigarette donne lieu à la production d’un déchet appelé mégot. C’est donc ce qui reste d’une cigarette après son usage. Il est composé d’un filtre entouré d’une feuille. Il contient tous les résidus de la cigarette. Il met de 18mois à 50 ans à se dégrader en fonction de du lieu où il est jeté . La moyenne de dégradation est de 12ans.

A lui tout seul il peut polluer 500 litres d’eau.

Dans le monde 4300 milliards de mégots sont jetés dans les rues chaque année soit 137000 mégots par seconde. Cela représente 766 000 tonnes en 2011.

Selon l’institut de santé globale suisse les mégots représentent 40% des déchets de la Méditerranée et le mégot est 100fois plus toxique qu’une cigarette non fumée.

 

Il semble évident qu’en terme de santé humaine et d’atteinte à l’environnement il faut d’abord limiter la consommation des cigarettes mais surtout empêcher le rejet des mégots dans la nature.

Il faudrait des lois l’interdisant avec des peines d’amende élevées associées à une éducation bien plus importante chez les jeunes . Devant notre lycée les mégots s’accumulent par terre malgré les cendriers. Les jeunes ne sont pas assez responsabilisés.

Un travail de : Eline MOUSSOUNDA, Marie Catalina GRENOT,

Romane BARBASTE et Théo ROYER

Ancre 2

Appareils électroniques :

 

 

 

 

 

     Aujourd'hui nous consommons de plus en plus d'énergie pour nos appareils électroniques, qui ne sont

pas, pour la plupart, indispensables. Les téléphones portables sont aujourd'hui une des principales sources de consommation d'énergie. Aujourd'hui il y a plus 2,87 milliards de smartphones dans le monde ce qui représente une quantité astronomique d'énergie consommée chaque mois. Il faudrait réduire notre temps d'utilisation du téléphone portable chaque jour, notamment durant les repas et pendant que l'on regarde la télévision. De plus, ceci pourrait non seulement réduire notre consommation d'électricité mais aussi favoriser les échanges familiaux lors des repas.

En moyenne, nous passons plus de 2h22 à manger et 3h40 à regarder la télévision par jour. Cela pourrait représenter environ 6h de moins à utiliser son téléphone portable. Un téléphone portable consomme environ 0,0057 Kw/h ce qui multiplié par 6 heures ferait 0,00342 Kw/j.

En 1 mois, cela représenterait 0,106 Kw en moins de consommé . Si l'on multiplie cette donnée par les 2,87 milliards de téléphones dans le monde cela représente une consommation mensuelle de 304 220 000 Kw.

De la même manière, si nous arrêtions tout écran à partir de 22h cela représenterait environ 2h en moins d'écran par jour. Nous pouvons prendre comme exemple la télévision et l'ordinateur. Nous savons qu'un ordinateur consomme 0,09 Kw/h et qu'une télévision LCD consomme 0,012 Kw/h. Cela voudrait dire que si on n'utilisait pas ces deux appareils durant au moins 2h par jour on consommerait donc 3,534 Kw de moins par mois. De plus, sachant que le nombre d'ordinateurs dans le monde est d'environ 2 milliards et que les télévisions sont environ 760 millions, cela permettrait d'économiser environ 9 753 840 000 Kw par mois.

 

En conclusion, nous pouvons dire qu'avec quelques gestes quotidiens faciles à appliquer nous pourrions, à l'échelle planétaire, réduire très sensiblement la consommation électrique.

 

 

D'après les sources : Selectra (Donnée EDF) / Statista / INSEE                                                                      Un travail de : Hugo LECINA

 

 

 

       

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